Votre enfant mérite mieux qu’un livret A !
Pour préparer l’avenir de votre enfant, votre premier réflexe est, très souvent, d’ouvrir un livret A à son nom. Pourtant, son horizon de placement et son insensibilité au risque lui permettent de s’exposer aux marchés financiers et d’obtenir de bien meilleurs rendements.
S’exposer aux marchés financiers
Sur une période de 18 ans, quel que soit votre point d’entrée depuis 1978, votre investissement en actions rapporte, dans près de 96% des cas, plus qu’un placement sans risque à 3,5% (équivalent livret A).
Encore faut-il que les frais liés à ses investissements ne viennent pas effacer la performance de ses placements ! Chez IAM, notre efficacité opérationnelle et notre indépendance nous permettent de vous proposer une solution d’épargne en assurance-vie pour vos enfants à 1% par an, sans droits d’entrée ni frais d’arbitrages, à comparer aux 3,6% de frais moyens prélevés par les intermédiaires financiers traditionnels.
Une stratégie de création du patrimoine
Le plafond du livret A ainsi que la performance qu’il délivre ne vous permetteront pas de financer les études de votre enfant.
Les limites du livret A
Le livret A ne lui permettra en effet sans doute pas de disposer de la somme nécessaire à sa majorité au financement de cinq ans d’étude par exemple1. En revanche son objectif pourra être atteint en plaçant 2 500 € à la naissance de votre enfant et en versant 200 € par mois sur une assurance-vie IAM Financial Partners investie en actions.
Pourquoi nous choisir ?
Il est primordial de réduire à son maximum les frais liés à vos investissements afin d’en limiter l’impact sur la performance, d’autant plus quand votre horizon de placement est long. Notre efficacité opérationnelle et notre indépendance nous permettent de vous proposer une solution d’épargne pour vos enfants à 1% par an (sans droits d’entrée ni frais d’arbitrages), à comparer aux 3,6% de frais prélevés en moyenne par les acteurs traditionnels.
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81 060 euros pour les 5 années d’études supérieures en 2023, selon la FAGE (Fédérations des Associations Générales Étudiantes). ↩